A l’initative de mon collègue André Chassaigne, député du Puy-de-Dôme, j’ai cosigné, avec plus de 200 députés issus de tous horizons politiques, une tribune appelant le gouvernement français à opposer un veto à l’accord commercial entre l’Union Européenne et les pays du Mercosur (Brésil, Argentine, Paraguay, Uruguay).
Mon amendement sur l’utilisation des données anonymisées de l’utilisation des dispositifs médicaux à des fins d’études a été adopté.
Suite à mes précédents échanges avec l’association Canoppée implantée sur la 1ère circonscription de Maine-et-Loire, j’ai tenu à cosigner de nouveau la proposition de loi de ma collègue Sophie Pannonacle, députée de gironde qui l’a redéposé le 15 octobre.
Suite à ma rencontre avec des graphothérapeutes de la circonscription, j’ai contacté ma collègue députée Alexandra Martin qui porte cette proposition afin de soutenir ce texte et en être cosignataire.
Sollicité par des citoyens de la première circonscription sur la revalorisation salariale de l’ensemble des professionnels de la petite enfance, François GERNIGON a déposé une question écrite au Ministre de la Santé et de la Prévention.
Alors que les maladies et la fatigue auditive se multiplient, trop de nos concitoyens rencontrent des difficultés pour obtenir rapidement un rendez-vous chez un spécialiste ORL.
« La politique n’appartient pas à une élite ou à des professionnels, elle appartient à tout le monde.»
En janvier dernier j’ai eu l’occasion de visiter le Centre Educatif Fermé La Jubaudière dans mon département de Maine-et-Loire. Ce centre accueille de façon permanente 12 mineurs délinquants âgés de 13 à 17 ans.
Ce lundi 22 avril s’ouvrait le début des auditions de la commission spéciale sur le projet de loi relatif à l’accompagnement des malades et de la fin de vie dont j’ai été nommé secrétaire.
Il n’y a rien de plus précieux que la santé, et parmi ses nombreuses dimensions, l’ouïe occupe une place essentielle. Cependant, trop souvent, la santé auditive est reléguée au second plan, négligée dans notre quête quotidienne de bien-être. C’est pourquoi je suis profondément engagé dans la promotion et la préservation de celle-ci.
Le projet de loi concernant l’accompagnement des malades et la fin de vie a été officiellement présenté en Conseil des ministres mercredi 10 avril 2024. Ce texte crucial sera soumis à l’examen d’une commission spéciale qui s’est installée le jeudi 11 avril, composée de 71 députés issus de tous les groupes politiques.